Les formes familiales, héréditaires, de la maladie de Parkinson représentent environ 5% de l’ensemble des cas de maladie.
Treize gènes ont été identifiés comme porteurs de mutations à l’origine de ces formes transmissibles à la descendance. Si les mutations sont dominantes, un enfant né d’un parent atteint de la maladie de Parkinson et donc porteur de la mutation, présente un risque de 50% de développer la maladie.1
Dans 95% des cas, la maladie se déclare de manière sporadique, c’est-à-dire chez une personne qui ne porte pas de mutation dans les gènes impliqués dans les formes héréditaires de la maladie.1 Théoriquement, ces formes ne se transmettent pas à la descendance.